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Les éléments à prendre en compte pour investir dans l’immobilier scpi

Investir dans l’immobilier peut être une expérience profitable et agréable. Cependant, il existe de nombreux types d’investissements différents à considérer avant de prendre votre décision.  Dans cet article, j’aborderai les trois principaux moyens d’investir dans l’immobilier : les actions, les fonds communs de placement et les véhicules d’investissement personnels. 

Il n’existe pas de solution unique ; vous devez réfléchir à vos objectifs financiers et à vos projets d’avenir lorsque vous décidez du type de bien immobilier que vous souhaitez acheter ou même si vous souhaitez investir. Par exemple, avez-vous d’autres actifs qui pourraient être liquidés ? Prévoyez-vous de vivre à proximité pour faciliter l’entretien régulier ? Et combien de temps êtes-vous prêt à consacrer à l’entretien de votre propriété ? Ces facteurs devraient vous aider à décider quel type d’investissement vous convient le mieux.

Les trois façons d’investir dans l’immobilier 

La première façon d’investir dans l’immobilier est d’acheter des actions. L’achat d’actions d’une société qui possède ou investit dans l’immobilier peut vous permettre d’avoir une part du gâteau sans avoir à vous préoccuper d’être propriétaire. Cependant, comme pour tout investissement en actions, il y a toujours un risque, alors faites vos recherches avant d’acheter une société. 

La deuxième façon d’investir dans l’immobilier est de recourir aux fonds communs de placement. Il s’agit essentiellement de paniers d’investissements, comprenant des actions et parfois même des biens immobiliers, que vous pouvez acheter dans le cadre de votre portefeuille global. Cette option est moins risquée que l’achat d’actions individuelles, mais elle s’accompagne de frais et peut ne pas offrir le même potentiel de retour sur investissement 

La troisième façon d’investir la meilleure façon d’investir dans l’immobilier consiste à utiliser des véhicules d’investissement personnels, tels qu’une société à responsabilité limitée ou une société d’investissement immobilier. Ces véhicules vous permettent d’investir dans des propriétés spécifiques et peuvent constituer une approche plus pratique que les deux autres options. Cependant, ils sont également soumis à davantage de réglementations et peuvent être plus difficiles à mettre en place 

En résumé, il existe de nombreuses façons d’investir dans l’immobilier. Vous devez réfléchir à vos objectifs, à votre situation financière et à votre niveau de confort avant de décider ce qui vous convient le mieux. Si vous recherchez une option moins risquée, les fonds communs de placement peuvent être la solution. Si vous recherchez une approche plus concrète, les instruments de placement personnels sont peut-être le meilleur choix. Et si vous voulez acheter des actions d’une société qui possède ou investit dans l’immobilier, l’achat d’actions peut être la bonne décision pour vous. Quelle que soit la voie que vous choisissez, n’oubliez pas de faire vos recherches et d’investir intelligemment !

Les véhicules d’investissement immobilier

Les véhicules d’investissement immobilier en France peuvent être réglementés ou non réglementés. Les non réglementés sont généralement constitués sous forme de société, comme la société par actions simplifiée.

SCI 

La SCI est une forme de société qui convient bien à la gestion d’un ou plusieurs biens immobiliers mais qui n’est pas, en principe, adaptée au développement d’une société d’investissement ouverte à un grand nombre d’actionnaires.

Les réglementés comprennent les parts de sociétés d’investissement immobilier (SIIC) ou les non parts comme les Organisme de Placement Collectif Immobilier (OPCI) ou les fonds d’investissement immobilier (SCPI).

Les OPCI eux-mêmes peuvent prendre deux formes, soit celle d’une SPPICAV (société d’investissement à capital variable à prépondérance immobilière), soit celle d’un FPI (fonds d’investissement immobilier).

Comment choisir ?

Le choix du type de véhicule d’investissement dépend du cas particulier, des circonstances liées au statut de l’investisseur, de la nature de l’opération, de la durée du rendement attendu et des aspects fiscaux (par exemple, les droits d’enregistrement et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA)).

La propriété et la cession de biens immobiliers en France donnent lieu aux impôts sur le revenu, selon que les propriétaires sont des personnes physiques ou des sociétés et qu’ils sont résidents fiscaux français ou non.

  • Pour les sociétés françaises soumises à l’impôt sur les sociétés (IS), tout revenu provenant de biens immobiliers (par exemple, les revenus locatifs et les plus-values de cession) est soumis à l’IS ;
  • Pour les particuliers français, tout revenu provenant d’un bien immobilier déclenche l’impôt sur le revenu des personnes physiques ; 
  • Pour les non-résidents, tout revenu locatif provenant d’un bien immobilier situé en France est soumis à l’IS ou à l’impôt sur le revenu des personnes physiques, tandis que les plus-values provenant de la vente de parts dans ce que l’on appelle des « entités riches en terres », c’est-à-dire des sociétés dont la valeur provient principalement de l’immobilier, ou de la vente de biens immobiliers sont soumises à diverses retenues à la source.

En outre, l’acquisition de biens immobiliers peut être soumise à la TVA, selon que le vendeur est ou non assujetti à la TVA et que le bien immobilier est construit depuis moins de cinq ans. A cette proposition, l’application de la TVA peut affecter le taux des droits d’enregistrement.

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